31 janvier 2022: Une horrible journée pour Caroline, Marco et Hilaski puisqu’ils ont dû se dire adieu après 5 ans de bonheur quotidien….
Caroline et Marco lui rendent hommage:
« Et un jour tu t’envoles…
Il n’y aura plus tes grands yeux noirs qui nous observent de loin et veillent à ce que l’on ne s’éloigne jamais trop.
Il n’y aura plus ta tête qui vient s’enfouir entre nos jambes lorsqu’on passe le pas de la porte.
Il n’y aura plus tes ronflements-berceuses qui nous aidaient à nous endormir depuis cinq ans.
Plus le cliquetis de tes pattes dans la maison. Plus de grognements pour nous alerter d’un ennemi à l’approche, plus de sentiment de sécurité de t’avoir près de nous. Plus de balades le matin ni le soir. Plus de petite tête qui vient discrètement quémander quelques gourmandises, en particulier s’il s’agissait de beurre ou de jambon, et les attraper avec tant de délicatesse pour ne pas risquer de nous blesser. Plus de pots de yaourts à lécher. Plus de sessions de câlins ou – plus rarement – de jeux, plus de caresses, plus de queue qui s’agite à notre approche.
La maison est si vide. J’entends encore tes bruits.
Tu étais notre quotidien, si fidèle, si gentil. Tu nous as offert ta confiance en nous laissant devenir tes maîtres dès le tout premier instant, après avoir été trahi par deux autres familles : TU nous as adoptés.
Tu étais notre premier bébé, tu nous as élevés au rang de famille et tu nous as offert tellement, tellement de bonheur, en nous aidant à traverser les moments difficiles et en rendant les moments joyeux encore plus étincelants.
Tu as caché ta douleur jusqu’au bout, fort comme un roc… jusqu’à que tes pattes ne te tiennent plus et que ta respiration te trahisse. Et tu nous faisais encore confiance ce matin, lorsqu’on t’amenait au seuil de ton dernier voyage…
J’espère qu’il sera beau, ce voyage.
Je sais que tu auras une place de choix au Paradis des chiens, et – qui sait ? – peut-être qu’un jour on se retrouvera pour courir ensemble entre les nuages.
On t’aime si fort. »
A l’asso, nous nous souvenons tous des débuts de cohabitation difficiles pour Chamallow, (qui s’appelait alors Hilaski), car ses ex ne nous avaient prévenus de sa phobie de la ville qu’au moment de monter Hilaski dans la voiture et Hilaski partait vivre dans l’ hyper-centre de Grenoble: trois jours après son arrivée il avait refusé de sortir et avait passé 48 h sans uriner, le temps pour nous de trouver un éducateur canin qui se rende sur place pour prodiguer aide et conseils…
Quel bonheur! quelle fierté ! pour Caroline et Marco à chaque fois que celui que sa douceur leur avait fait baptiser « Chamallow » faisait un minuscule progrès, preuve que sa confiance en eux l’aidait à surmonter ses peurs, peurs dans lesquelles d’autres humains l’avaient laissé durant 4 ans, ceux qui avaient juste craqué sur la petite boule « crèèèèème » qui faisait l’admiration de leur famille, voisins, amis et qui devenue adulte avait été remisée au jardin, avec les encombrants.
On se souvient tous, émus, de ce mail: » Chamallow a accepté de manger du saucisson au cours de sa balade! »
Ceux cherchent un chien « clé en main », un chien auquel il n’est nul besoin de faire découvrir des situations ou surmonter des phobies ne savent pas ce qu’ils perdent en complicité et même en amour fou avec leur chien, car les épreuves surmontées ensembles lient plus que la facilité.
Aujourd’hui Chamallow est partit. Cancer. Il avait 9 ans…
09 mai 2021:
C’est toujours un excellent chien de garde à l’ouïe très fine.
On doit tempérer les ardeurs de notre fille qui a la fâcheuse tendance à lui courir après alors que Chamalow aime sa tranquillité, et on découvre que ce n’est pas une tâche facile d’apprendre cela à un enfant si petit, tempétueux et maladroit. Il ne montre pas de signes d’agressivité mais en a peur. Elle sait malgré tout se montrer très douce (grâce à lui, elle adooore les animaux) et Chamalow sait aussi apprécier qu’elle lui donne des friandises ou les restes de ses repas ; on espère que ça lui permettra de peu à peu moins la craindre dans les prochains mois. »
19 juillet 2020: « Tout va bien par ici. Cham Cham supporte moins bien la chaleur cette année on dirait (moi aussi d’ailleurs 😅 ), je me dis que c’est peut-être l’âge qui joue, il a eu 8 ans le pépère ! Du coup on le promène aux heures les moins chaudes.. dans l’appart ça va encore parce qu’on fait courant d’air. »
3 mars 2019 : Caroline: « Tout va bien pour nous 3, Chamalow se porte comme un charme, c’est un amour de chien 🙂 »
17 aout:
« Quelques photos de notre Chamalow. Ici rien de neuf : les journées sont faites de tendresse et notre grosse boule de poils nous comble toujours autant de bonheur. «
21 mai:
« Quelques photos de la région bordelaise où nous sommes depuis seulement 24h. Chamalow est heureux, heureux, heureux. Il se roule dans l’herbe et aussi dans l’eau des lacs (puis, à la sortie de l’eau, dans la terre!! ce ne seront pas les vacances les moins salissantes 😂), joue avec les deux autres chiens de mes frère et soeur (il y a un petit nouveau, avec qui il s’entend très bien), renifle tout au point qu’il se retrouve avec le nez vert. Puis, épuisé, bronze au soleil. C’est le bonheur et ça ne fait que commencer.
A très vite, »
07 mars:
Vous retrouverez les vidéos sur Google Drive (il y en a trois) , cliquez ici
27 janvier 2018:
« Oui, c’est vraiment le bonheur à Montpellier. Chamalow est un amour, je crois que cette nouvelle vie le rend heureux. 😊 Les nouveautés : il vient sous mes pieds quand je suis sur le canapé (avant il restait toujours derrière), nous fait des sortes de bisous notamment le matin au réveil, et on a découvert son point « chatouilleux » secret ! «
2 novembre:
(les vidéos sont restées sur google drive, trop lourdes pour notre site, cliquez sur le lien au-dessus ndlr)...
nous voilà donc dans notre nouvel appartement du sud avec sa grande terrasse ensoleillée que Chamalow a déjà tout à fait adoptée. Le quartier est calme et les balades des plus agréables, si ce n’est quelques chats qui traînent par ci par là et animent nos promenades.
A 5 minutes à pieds dans toutes les directions on peut trouver un parcours de santé, un sentier boisé, le domaine gigantesque d’un château laissé à l’abandon, une balade le long du fleuve… Ca change de l’hypercentre ! Chamalow est toujours très heureux de sortir et le signal de la promenade imminente est souvent le déclencheur de grandes parties de jeux. Jeux qui, anciennement occasionnels, sont maintenant devenus pluriquotidiens et d’une vivacité incroyable. Il a découvert les joies de l’ascenseur (premier entré, premier sorti!), adore toujours autant la voiture, a apprécié notre première balade à la mer où il y a même trempé les pattes spontanément (plages autorisées aux chiens d’octobre à avril pour notre plus grand bonheur). On apprend doucement à le lâcher dans les endroits calmes et sécurisés et il est assez réceptif aux « attends, stop, doucement, viens ici ».
Chamalow a pris ses marques dans ce nouvel appartement où il se met toujours à une distance stratégique pour être au plus près de moi et de Marco, vient parfois réclamer des câlins de lui-même en plongeant tête la première entre nos jambes, reste cet éternel gourmand qui pointe toujours le museau dans la cuisine ou de dessous la table à l’ouverture du jambon, du beurre ou du saumon.
Les débuts sombres sont loin derrière nous, les traces de son passé ne transparaissent plus que dans sa crainte des étrangers ou des bruits trop forts ou inconnus ; pour le reste Chamalow est le chien dont tout le monde rêve, un incroyable concentré de tendresse, parfait équilibre entre la tranquillité, l’affection et l’énergie. Il met du baume dans nos journées, a transformé l’ambiance de l’appartement, nous a élevés au rang de famille. On est gagas et hyper fiers d’avoir la chance de l’avoir dans notre vie. »
19 octobre: C’est quand qu’on repart ?
– Chamalow est un excellent chien de garde, gare à celui qui tentera d’entrer dans tout nouveau lieu où nous nous trouvons (même lors d’une simple soirée avec lui chez des amis) Il guette les ennemis à tous les angles des terrasses, et est à l’affut du moindre bruit.
Peut-être pour la même raison, c’est aussi un adorable pot-de-colle qui, je crois, se colle à celui qu’il pense le plus vulnérable (si je fais la sieste, il reste au pied du lit et personne ne pourra l’en décoller ; si l’un de nous se douche, il monte la garde devant la porte, on ne sait jamais ce qui pourrait nous arriver.)
11 Mai: Même un succès, une TPLO n’est pas une opération bénigne et le chien, tout comme l’humain, a besoin d’une longue période de convalescence et de rééducation: « Chamalow a fait une pyodermite du fait de la tonte (à distance de la cicatrice qui elle est très belle) donc il est sous antibiotiques pour 10 jours ;
Il s’est aussi remis à boiter après l’arrêt des anti-inflammatoires, probablement parce qu’il a reposé la patte très vite, le véto a dit que c’est très fréquent et bénin mais qu’il faut reprendre les antalgiques pour 1 mois (à plus petites doses) car ça peut mettre longtemps à passer.
Par ailleurs il est très dynamique, câlin et toujours gourmand.
On ménage encore les balades le temps que ces désagréments passent. »
27 avril: Chamalow est en convalescence chez papy-mamie qui possèdent une maison avec terrain, plus pratique que l’appartement pour un chow chow qui vient de se faire opérer des ligaments croisés.
Trois semaines après on peut dire que la TPLO a été un succès! Chamalow ne boite presque pas et n’a jamais montré de signe de douleur. La patte n’a pas gonflée et il a même bien supporté sa collerette.
Il faut dire qu’il a eu d’excellentes infirmières et une très bonne garde malade…
C’est même le grand amour!
Voilà une opération bien stressante pour ses parents à conjuguer au passé, les points vont être enlevés et ils vont pouvoir très vite retrouver un Chamalow vif et dynamique pour profiter des balades d’été.
26 mars: Certaines personnes ne « parleront » jamais chow, qu’elles achètent un chiot parce « ils sont si mignons avec leurs têtes de nounours » ou qu’elles adoptent un adulte.
Ces gens là sont bourrés de leurs certitudes: « Ben quoi, vous en faites tout un plat de vos chows mais ce sont avant tout des chiens« …. Non, choisir de vivre avec un chow, c’est choisir de laisser de côté toutes les idées reçues sur les chiens, se remettre en question et apprendre un autre code comportemental. Ce fut la démarche de Caroline et Marco:
« C’est vrai que nous avons la « chance » que Chamalow nous fasse confiance. C’est si touchant de le savoir attaché à nous autant que nous à lui. Ça se voit jusque dans la façon qu’il a d’accepter qu’on lui nettoie les yeux sans broncher alors qu’il n’aime pas du tout ça. Ça se voit dans la façon qu’il a de nous suivre partout dans l’appartement même s’il est en plein somme. Ça se voit dans son extrême progrès dehors où nous sommes désormais capables de faire des balades quasi normales en plein centre ville. Pourtant ça reste un chow chow, il n’accourt pas souvent de lui-même pour demander des caresses mais remuera par contre tout le temps la queue à chaque fois qu’on s’approchera pour lui en donner. Je me souviens que c’était la chose qui me faisait le plus peur avant de le rencontrer : qu’il ne nous aime pas, qu’il ne nous choisisse pas. Parce qu’on aurait bien pu faire tous les efforts du monde ça n’aurait rien pu changer. En fait, je pense que ça aurait été pire que tout ce par quoi on a pu passé. Il est heureux avec nous et c’est une sensation tellement extraordinaire ».
17 février 2017: » Des petites photos de Chamalow en espérant qu’elles vous fassent sourire autant que nous, avec en bonus ses fonds de yaourts préférés : les Mamie Nova !
La patience semble peu à peu porter ses fruits lors des balades, on est sur la bonne voie. Et s’il n’a jamais daigné jouer avec sa balle aujourd’hui on a découvert qu’il adore jouer avec… les boules de papiers froissées ! A suivre! «
Jolie histoire que celle de la rencontre entre Hilaski et ses adoptants, Caroline et Marco….
Tout a commencé en octobre 2016, une prise de contact FB, un chow chow de 4 ans à donner, vite.
Il est décrit comme gentil avec les humains, adultes et enfants, propre évidemment; pour le reste les propriétaires ne savent pas nous dire grand chose.
Les causes de l’abandon? un déménagement pour une maison où le terrain est moins grand que celui dont Hilaski a l’habitude. C’est vrai qu’il ne faudrait pas traumatiser encore ce pauvre loulou….
Car des traumatismes, Hilaski en a eu au moins un autre, lorsque ses premiers humains l’ont cédé via un journal d’annonce gratuite et qu’ils ont tendu sa laisse à d’autres humains, sur le parking d’un supermarché, en lui souhaitant bon vent.
Ces humains là lui ont offert un terrain et une petite fille qui venait parfois le voir, peut être même jouer avec lui, entre deux activités de petite fille, l’école et les copines. Au moins au début.
Puis la petite fille s’est lassée. Un « couché Hilaski » qui se voulait autoritaire a été son câlin d’adieu pour celui qui aurait dû être son meilleur copain; sa maman a déposé un Hilaski plein d’interrogations dans le coffre de la Twinchow et ce sont Sylvie et sa mère qui ont éprouvé de la compassion pour ce pauvre chien déboussolé, mais sage comme une image pieuse.
18 novembre: Première nuit en Auvergne. Premières constatations:
- Hilaski parcours la balade nocturne à toute vitesse après s’être longuement soulagé, point de reniflage. Il n’a donc jamais été promené, ne sait pas ce que c’est que « marquer ».
- Hilaski adore être brossé, il va être très beau après quelques soins.
- Hilaski ne dédaigne pas les croquettes, c’est bon signe.
- Hilaski n’est pas aboyeur, Caroline et Marco vont être soulagés.
En effet, nous destinons Hilaski à des jeunes gens qui vivent en appartement, car nous sommes persuadés que ce n’est pas la grandeur d’un terrain qui importe pour un chow, mais l’intérêt qu’on lui porte, les balades qu’on fait avec lui, les moments qu’on partage ensemble, y compris les séances de brossage-caresses devant la TV ou un feu de bois. Evidemment, Hilaski peut être tout à fait réfractaire à ce mode de vie et Caroline et Marco sont prévenus, ils partent sur l’idée d’être FA « et plus si affinités »….
Le co-voiturage se poursuit le lendemain.
Point de rencontre au Puy en Velay où se retrouvent Andrée avec Gitan; Sandrine, l’adoptante de Gitan; Sylvie et Hilaski, qui lui repartira avec Andrée.
Direction Saint Chamond où Hilaski rencontrera Caroline et Marco et partira avec eux pour sa nouvelle vie….
Evidemment, nous restons en contact étroit avec les jeunes gens que nous avons déjà rencontré à la balade de St Genix sur Guiers, qui sont pleins de l’envie de bien faire, qui rêvent de vivre avec leur chow chow, mais qui n’en ont jamais eu. Hilaski sera-t-il un chow pour eux? Seront-ils les humains dont Hilaski a besoin? Comment va-t-il s’adapter à une vie en appartement lui qui n’a connu que des maisons avec un terrain dont il n’est que rarement sorti?
Durant les 3 premiers jours, Caroline et Marco constatent qu’ Hilaski est assez tranquille dans l’appartement, qu’il explore sans crainte et que son appétit ne se ressent pas du changement de vie….
….Par contre Hilaski est mal à l’aise lors des promenades en ville, il fait ses besoins très vite et n’aspire qu’à une chose: retrouver la sécurité de son appartement! Au point que 4 jours après son arrivée, il refuse tout net de le quitter pour faire sa promenade hygiénique. Caroline et Marco essayent de le sortir très tôt le matin, pas de chance, Hilaski tombe sur le camion poubelle et son bruit épouvantable, ils essaient dans la journée mais Hilaski ne veut même plus du saucisson incitateur, ils essaient le soir tard mais Hilaski est resté sur sa crainte du matin…. 24h sans faire ses besoins! panique à bord!
Vendredi 25 novembre: Tous, nous avons mal pour Hilaski qui se retient depuis le mercredi matin! Les coups de fils sont passés en tous sens, les mails se croisent, les adoptants du coin sont mis à contribution (merci Illija et Sanja) et donnent des idées, un veto est consulté, puis nous pensons à une amie chez les eurasiers, Carole, qui vit dans la même ville et a une grande expérience des chiens du 5 ième groupe, pourra-t-elle aider Caroline et Marco à sortir Hilaski? Nous l’appelons tôt ce vendredi matin; Oui, elle pourra passer après sa journée de travail et essayer de faire sortir Hilaski. Mais elle nous conseille aussi l’éducateur canin auquel elle a eu recours pour ses chiens, on peut faire appel à lui en toute confiance, nous dit-elle….. mais encore faut-il qu’il soit disponible au pied levé et accepte de se déplacer jusqu’à l’hypercentre, nous croisons les doigts…………………… Et miracle! Pascal Deroeux est arrivé, à 16h. Et Hilaski a accepté de descendre et a pu se soulager, 16h30. C’est fou comme un pipi peut mettre 20 personnes en joie!
Durant 2h, Pascal expliquera a Caroline et Marco comment « obliger » Hilaski à sortir, comment lui donner confiance en eux pour lui donner confiance en lui et ainsi l’inciter à surmonter ses peurs…. et ça a fonctionné! http://www.canislupus-education.fr/
Tout timidement d’abord, mais l’important était qu’ Hilaski ne mette pas sa santé en danger, puis il y a eu la balade du dimanche en campagne qui a permis à Hilaski d’évacuer son stress en faisant quelque chose de sympa avec Caroline et Marco…
Puis un we en maison de famille et la découverte des chats des voisins, qu’Hilaski déteste,…
…puis d’autres balades en campagne….
Et puis Hilaski a accepter de manger un morceau de saucisson au cours de sa ballade en ville, belle preuve de décontraction, signal attendu par Caroline et Marco.
« Si vous pensez qu’il est heureux avec nous, si nous pouvons l’adopter, nous souhaiterions l’appeler Chamalow« .
Heureux?
Heureux?
Pour rassurer Caroline et Marco nous proposons une rencontre avec deux fidèles de Chôc!, Ibiza et Hélios, accompagnés par leurs parents, Sanja et Ilija. Rendez-vous est pris pour une balade…
8 janvier: Quelques heures de balade et le verdict est sans appel! Hilaski la chrysalide est devenu Chamalow le papillon!
Heu-reux!
Dehors Chamalow est très à l’écoute de ses nouveaux humains, tranquille et joyeux…
Dedans, Chamalow est très zen, l’appartement est une grande niche où il se sent partout chez lui…
Chamalow est donc adopté! Et en plus ses nouveaux parents vont déménager bientôt pour un appartement plus éloigné du centre ville, rien que pour lui.
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Aux dernières nouvelles, après quelques tentatives infructueuses ou vite avortées, Chamalow a enfin accepté de s’installer sur le lit!
A suivre!